Derniers jours à Corrientes. Après deux jours de pluie, le soleil est de retour. Des journées de repos avant la prochaine destination : Resistencia.
Notre plus gros problème, c’est de nous habituer au rythme des Argentins du Nord : lever tôt, activités dans la matinée, sieste entre 12 h et 17 h, puis reprise de la vie vers 19 h. Ne cherchez pas un resto avant 20 h – 20 h 30, sauf évidemment la Panera Rosa, que l’on revisite pour la Xe fois.
L’église San Francisco Solano est sans doute la plus impressionnante parmi celles visitées à Corrientes. En ce samedi soir, pour la messe, elle est bondée.
C’est aussi le cas de la calle peatonal qui, quasi déserte vers 16 h 30, est noire de monde à 20 h 30. Tellement noire de monde qu’il y a même des vendeurs ''plus que noirs'' qui proposent des montres.
Ici, pendant que la valeur du peso chute, on parle du riesgo Kuka. On laisse nos amis économistes faire leurs recherches : c’est une expression typiquement argentine.
Dans neuf jours, les élections. On ne prendra pas de risques : après Resistencia, on se réfugie au Paraguay. Si Milei perd, oncle Donald ne sera pas content…
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