mercredi 19 février 2014

Buenos Aires, le 17 février

La journée commence à la casa de cambio, nous sommes traité comme un entrepreneur de construction montréalais allant prendre un café à Saint-Léonard. Avec les grands honneurs, et c’est dans la petite salle à l’arrière que se passent les choses sérieuses, merci à notre indicateur, le tuyau était bon. Non, nous n’avons pas mis les liasses de pesos dans nos chaussettes.


Nous passons rendre hommage aux 650 héros qui ont donnés leurs vies pour combattre les corsaires anglais en 1982. La flamme éternelle devant le monument ne brûle plus, en réparation, faudra revoir les définitions dans le Petit Larousse.


On arrête prendre un café dans un Walmart local, les Galeries Pacifico, puis on va se recueillir devant la dépouille du Libertador, dans la cathédrale de la ville.


C’est dans le Café devant lequel fut célébrée la fin de la guerre du Chaco en 1935 qu’on arrête pour diner. Je ne mettrai pas les cyberdépendants au défi, cette guerre était entre la Bolivie et le Paraguay et le célèbre café est le Tortoni.  Ok les accros, vous pouvez toujours chercher les causes et les aboutissements de ce conflit.

Puis on contourne le parlement et on revient à l’appartement où il n’y as plus d’eau courante, on espère être relocalisé demain au Palace Alvear si la situation ne se règle pas.

1 commentaire:

Lise Do a dit…

C'est aux Galeries Pacificos qu'il ont tenté de copier la chapelle Sixtine ? En tout cas, plus distrayant que le Carrefour Laval pour tous les p'tits vieux qui attendent que la journée passe, sur les bancs de l'agora, non ?
Café Tortoni y Palace Alvear: que lugares magnificos....