Buenos Aires, le 22 février

Catherine j'ai retrouvé la grande roue juste pour toi!

Si hier nous avons découvert une petite rue toute mignonne: La Dama de Bellini, aujourd’hui c’est un quartier qui n’existe pas, au moins pas dans les registres officiels que l’on découvre. On projetait de visiter le Musée de la Mémoire, qui et fermé, on visite plutôt le centre d’achat Abasto et son parc d’amusement pour les enfants. Tous les jeunes de deux ans et plus auraient du plaisir au parc «Neverland» même si de notre point de vue c’est les encourager trop jeunes aux jeux de hasard. La rue Corrientes que l’on parcourt est dans un quartier assez pauvre de Buenos Aires, pas miséreux mais loin de Recoleta, la faune est plus foncée, il y même du monde qui n’existent pas en Argentine, et une minorité visible me rappelle l’Outremont de ma jeunesse.

Au hasard des rues on tombe sur la rue Jean Jaures et sur le musée dédié à Carlos Gardel, né à Toulouse en 1890 il se retrouve en Argentine avec sa mère à l’âge de deux ans et devient la grande vedette internationale du tango, à sa mort tragique dans un accident d’avion en Colombie il est aussi populaire que Céline. Écoutez le, sur Google, il et un vrai bon chanteur. Son musée est aussi une école de tango.

https://www.youtube.com/watch?v=Aa_N71VXQnM

En revenant on croise un immense gros hôpital, son apparence externe ne donne pas le gout de visiter l’intérieur.

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