mardi 11 février 2014

Santa Fé, le 11 février

Nous sommes dans une très vieille ville avec beaucoup d’histoire, le quartier historique est très agréable, le reste de la ville, enfin ce que nous avons vu, assez moche.
On aperçoit la première église de pays qui date de 1611, juste à côté un collège Jésuite datant de 1610 est toujours en opération. 
Ensuite on force un peu la porte d’un magnifique monastère de leurs confrères Franciscains.



Dans un petit musée sur l’histoire de la province de Santa Fe, je tombe sur un portrait du «Sergento Pedro Bustamante»,(1793-1883) qu’elle vie: à 14 ans il est en service pour la défense de Buenos Aires devant l’envahisseur anglais, puis il fait la campagne du Paraguay avec le général Belgrano, avant de rejoindre Saint-Martin dans les luttes de libérations nationales, pour finir sa vie à 90 à Buenos Aires.

On visite le parlement provincial où fût signés de nombreux documents d’importance nationale dont la première constitution du pays et un traité avec le Brésil. On devra fouiller internet pour en savoir plus sur le brigadier-général Estanislao Lepeg dont le buste orne le sommet du bel escalier dans le parlement.
Dans l’après-midi la ville est morte, essayer de manger ici entre 2 et 5 heures est impossible si on refuse le grand M-Jaune.
Forte hausse des prix, aujourd’hui c’est le poulet qui grimpe et le 1 mars ce sera celui du métro de Buenos Aires qui passera de 3,50 à 4,50 pesos, une augmentation de 309% en deux ans. Mais chute brutale de la température qui passe de 37,5C en matinée à 28C en après-midi. Combien fait-il au Québec?
Les gens d'ici viennent de la France, Espagne, Suisse, Allemagne, Italie, Pologne
Les noirs étaient ici bien avant et étaient vendus dans le parc devant le Parlement
Classe de 6ième - prêts au travail!
On travaille très jeunes et pieds nus!
Musée

1 commentaire:

Lise Do a dit…

Quel beau couvent ! On s'assoirait facilement sur ce banc pour y lire quelques heures, ou simplement regarder le temps passer....Belle photo avec Françoise !
Ça me surprend toujours de voir tous ces gens immigrer ailleurs, bien loin de chez eux, en ces années où il fallait prendre le bateau pour s'y rendre ! transport