dimanche 9 février 2014

Gualeguaychu, nuit du 8 au 9 février

 
 
 
Carnaval, Mardi Gras, Carnaval. Il doit bien y avoir au moins 6o dégrées C de différence entre les deux évènements. On part en autobus à 18h pour assister au plus gros carnaval de l’Amérique du Sud après Rio. Vers 8h30 on s’installe dans la première rangée, le long d’une longue promenade où passera le défilé; le choix d’investir quelques «dineros» supplémentaires pour avoir cet emplacement s’avèrera très judicieux.


Vers 10h10 c’est une atmosphère de Parc Jarry par une chaude et collante soirée de juillet, on annonce de la pluie, la grande vedette MariMari n’y sera pas et les estrades sont presque vides, dans les estrades populaires on commence à voir plus de monde.
L’action commence, par la voix enthousiasme  de l’annonceur et de la musique de samba. Puis l’action commence, genre pratique au bâton, quelques danseuses, de la publicité de tout genre, écologique, sociale et commerciale. Le programme triple commence vers 1oh30, en avance par crainte de la pluie;  à part deux pauses d’une vingtaine de minutes c’est un défilé sans fin jusqu’à 2h30 du matin.

Un carnaval sud-américain, c’est bien sur une orgie de jambes, de fesses, de seins et de plumes, mais c’est bien plus. Il y a presque autant de danseurs, certains du genre défilé de la fierté, mais aussi des tambours, des chars allégoriques des plus diversifiés, des costumes de tout genre.

Il fait chaud, mais la PachaMama qui nous a pris sous sa protection attend le trajet de retour en bus pour déchainer les éléments. À  4h30 AM, dodo. 

1 commentaire:

Lise Do a dit…

Ah ! Oui, Richard, ces défilés, c'est vraiment le summum de la femme pulpeuse et plumeuse...
À ce stade-là, on commence à s'éloigner pas mal de la belle femme québécoise 'qui a du chien' ! Hi ! Hi !