Vers 10h10 c’est une atmosphère de Parc Jarry par une chaude et collante soirée de juillet, on annonce de la pluie, la grande vedette MariMari n’y sera pas et les estrades sont presque vides, dans les estrades populaires on commence à voir plus de monde.
L’action
commence, par la voix enthousiasme de
l’annonceur et de la musique de samba. Puis l’action commence, genre pratique au
bâton, quelques danseuses, de la publicité de tout genre, écologique, sociale
et commerciale. Le programme triple commence vers 1oh30, en avance par crainte
de la pluie; à part deux pauses d’une
vingtaine de minutes c’est un défilé sans fin jusqu’à 2h30 du matin.
Il fait chaud, mais la PachaMama qui nous a pris sous sa protection attend le trajet de retour en bus pour déchainer les éléments. À 4h30 AM, dodo.
1 commentaire:
Ah ! Oui, Richard, ces défilés, c'est vraiment le summum de la femme pulpeuse et plumeuse...
À ce stade-là, on commence à s'éloigner pas mal de la belle femme québécoise 'qui a du chien' ! Hi ! Hi !
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