mardi 4 février 2014

Colon, Entrerios, les 3-4 février

Avec la propriétaire
Avant de quitter Ranelagh, nous avons le privilège de visiter le wagon présidentiel d’Evita Perron, c’est un lieu privé mais la propriétaire, amie de nos hôtes, vient nous ouvrir les lieux et nous le fait visiter. C’est impressionnant si on remonte le tout dans les années 50.
Ignacio vient nous reconduire au terminus de bus de Retiro à Buenos Aires. On ne pourra jamais décrire correctement l’extrême gentillesse et la serviabilité de nos hôtes: Muchas Gratias.
Nous passons un peu de temps dans cet immense terminal en attente de notre autobus qui  ne partira pour Colon qu’à 15h15. En écoutant les nouvelles à la télévision de la cantine on se rend compte de l’horreur qui frappe la moitié du pays en cet été 2014.
Non ce n’est pas la dévaluation du peso et l’inflation qu’elle provoque, ce n’est pas non plus la maladie de Christina. Imaginez le pire qui pourrait arriver à Montréal et vous pourrez comprendre l’horreur qui frappe le pays. Aucune victoire de Boca junior dans la saison estivale et deux défaite face à River. L’autre moitié de la population est partisane de River et passe un bel été.
Après plus de cinq heures de route on arrive à Colon dans la province de «Entrerios», on s’installe pour un soir dans un petit hôtel et on change pour un autre le 4. 

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