Notre
chauffeur se présente à l’heure pour nous conduire à l’aéroport national de
Guatemala. Mais nous ne sommes pas encore sortis de Xela que déjà on est arrêté
par la police, la police on le sait c’est la mafia locale. Petite fouille de la
voiture et on repart sans problèmes, ils ont toute la journée pour faire leur
quota, puis on arrête pour de l’essence et de l’huile à «power-sterring», et on
arrête à nouveau pour un café qui semble essentiel pour notre conducteur.
Puis enfin
on avance et vers midi nous sommes dans le trafic de la capitale, il n’a aucune
idée où est l’aéroport et encore moins l’aéroport domestique. On tourne en rond
et on retourne. «Los que me conocen,saben como a mi esto gusta».
Finalement
on arrive, on débarque et on se rend compte que nous sommes dans le mauvais
aéroport, heureusement le nouveau chauffeur de taxi connait le coin et nous
amène à destination. C’est comme être à Dorval quand vous avec un vol qui part
de Saint-Hubert.
C'est l'aéroport |
Nous sommes reçus chez
TAG avec tous les honneurs, on nous commande même un repas d’un grand
restaurant gastronomique international et on nous ouvre le salon des VIP.
On
embarque dans un petit SAAB-340A (compagnie suédoise) et après trente minutes
de sauna à attendre sur la piste on s’envole dans les nuages.
On s’installe dans un
petit hôtel au bord d’un lac, il y aurait des vielles roches dans le coin, on
verra demain.
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