vendredi 27 février 2015

Flores, Peten, le 26 février

Notre chauffeur se présente à l’heure pour nous conduire à l’aéroport national de Guatemala. Mais nous ne sommes pas encore sortis de Xela que déjà on est arrêté par la police, la police on le sait c’est la mafia locale. Petite fouille de la voiture et on repart sans problèmes, ils ont toute la journée pour faire leur quota, puis on arrête pour de l’essence et de l’huile à «power-sterring», et on arrête à nouveau pour un café qui semble essentiel pour notre conducteur.

Puis enfin on avance et vers midi nous sommes dans le trafic de la capitale, il n’a aucune idée où est l’aéroport et encore moins l’aéroport domestique. On tourne en rond et on retourne. «Los que me conocen,saben como a mi esto gusta».

Finalement on arrive, on débarque et on se rend compte que nous sommes dans le mauvais aéroport, heureusement le nouveau chauffeur de taxi connait le coin et nous amène à destination. C’est comme être à Dorval quand vous avec un vol qui part de Saint-Hubert.

C'est l'aéroport

Nous sommes reçus chez TAG avec tous les honneurs, on nous commande même un repas d’un grand restaurant gastronomique international et on nous ouvre le salon des VIP.


On embarque dans un petit SAAB-340A (compagnie suédoise) et après trente minutes de sauna à attendre sur la piste on s’envole dans les nuages.


On s’installe dans un petit hôtel au bord d’un lac, il y aurait des vielles roches dans le coin, on verra demain.

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