samedi 28 février 2015

Tikal, le 28 février

sous le brouillard du matin

Qu’est-ce que l’on voit à Tikal. De la brume, la faune, la flore et des roches. Partis de Flores à 5h00 AM, on commence notre visite du site Maya de Tikal. Après un arbre à poivre, c’est un arbre «Chicklets», puis un immense ceiba d’une centaine d’année, qui était l’arbre sacrée des mayas, puis on sent l’odeur d’un cobal, et on croise un pacaya dont la tige serait comestible.Les pizotes, petits mammifères, traversent les allées, on voit des toucans, des paons, on entend les perroquets et on a la chance de voir un petit faucon (Falco Peiroleucus).

Il y a des roches aussi, les Mayas les ont mises les unes sur les autres et ont édifié des plazzas, des temples et des pyramides uniques. Le tout dans un parc bien aménagé des plus agréables, et à cette heure la visite se fait sans chaleur écrasante, même les moustiques ne semblent pas éveillés, et ce n’est pas l’autoroute des fourmis qui peut nous arrêter.

Nous avons un guide insignifiant, qui ne réussit pas à gâcher une belle journée, rendez-vous sur le site tôt le matin et amenez un petit lunch pour déjeuner, le petit restaurant sur place est un attrape tourisme.

En soirée un bon repas pour le début de notre vingt-huitième années ensemble



1 commentaire:

Lise DO a dit…

Wow ! Époustouflant comme site... Que de travail avec ces roches ! À travers vos mots et vos photos, on sent presque la brume jusqu'ici et on entend les cris d'oiseaux ! Magique...
Félicitations, 27 ans ensemble, c'est plus si courant que ça, non ?