mercredi 18 février 2015

Monterrico, les 17 et 18 février

Déjà cinq jours de repos ici; que dire de cette petite ville de pêcheurs au bord du Pacifique qui apprend à vivre avec la vie moderne et un peu de tourisme. C’est typique, on ne voit pas de misère mais il faudra attendre encore des années de développement avant que les premiers signes de richesses se pointent. Le point fort c’est la calme de l’endroit, où nous sommes. Le bruit des vaques est l’élément le plus perturbateur de la tranquillité qui nous entoure. Hier nous avons bougé de notre havre de paix que pour aller regarder la mer et les étoiles sur la plage.

Tôt ce matin une marche sur la plage nous amène à l’hôtel «Dos Mundo» où nous prenons un café après avoir vu les pêcheurs arriver avec le fruit de leur travail nocturne. Nous sommes à «l’Atelie del mar», propre, confortable, propriétaires très accueillants, belle grande piscine et cuisine excellente. Si les alentours qui manquent un peu de sens écologique, avec trop de détritus dans les rues de sable poussiéreuses, ne vous dérangent pas, c’est un p’tit paradis que nous pouvons recommander sans réserve.

L’invasion québécoise se poursuit, qu’est-ce que ce sera quand Cuba sera un état américain et que les «los tabarnacos» chercheront refuge ailleurs. Pourquoi se plaindre de la chaleur de la mi-journée, 35 C, c’est quand même mieux que -35C.

Au petit matin, ils reviennent


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