À Xela on
parle Q’uiché, on dit Xela: la grande ville. Premier endroit que nous visitons
au Guatemala qui ne vit pas essentiellement du tourisme. Il est difficile de se
faire une idée des maisons de la ville, ici derrière un modeste mur de pierre
peut se cacher aussi bien une belle casa autour d’un beau patio que la misère.
Le parc
central, comme presque toujours en Amérique Latine est intéressant. La façade d’une
veille cathédrale subsiste, on fait le tour des agences de voyages pour acheter
nos billets pour Tikal, ils fonctionnent à l’ancienne, à l’époque où il fallait
appeler les grossistes.
Maison des riches abandonnée |
On se rend au théâtre municipal et on fait deux pas
dans le cimetière qui est au début de la zone rouge.
Un petit
musée nous en apprend sur la brève histoire de «L’estados de los altos» qui fut
indépendant pendant deux ans, de 1838 à 1840. C’est bien plus qu’un journal que
le leader séparatiste à perdu. Sa dépouille fut exposée sur une chaise en
matière d’avertissement et de la colonne en son honneur, il ne reste que la
base. Pierre-Karl, souviens toi du Docteur Roberto Molina.
La zone "rouge" commence avec le cimetière - les groupes le visite sous escorte policière |
Palais de justice se promène d'un endroit à l'autre |
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