mardi 24 février 2015

Xela, le 24 février


À Xela on parle Q’uiché, on dit Xela: la grande ville. Premier endroit que nous visitons au Guatemala qui ne vit pas essentiellement du tourisme. Il est difficile de se faire une idée des maisons de la ville, ici derrière un modeste mur de pierre peut se cacher aussi bien une belle casa autour d’un beau patio que la misère.

Le parc central, comme presque toujours en Amérique Latine est intéressant. La façade d’une veille cathédrale subsiste, on fait le tour des agences de voyages pour acheter nos billets pour Tikal, ils fonctionnent à l’ancienne, à l’époque où il fallait appeler les grossistes. 

Maison des riches abandonnée


On se rend au théâtre municipal et on fait deux pas dans le cimetière qui est au début de la zone rouge.

Un petit musée nous en apprend sur la brève histoire de «L’estados de los altos» qui fut indépendant pendant deux ans, de 1838 à 1840. C’est bien plus qu’un journal que le leader séparatiste à perdu. Sa dépouille fut exposée sur une chaise en matière d’avertissement et de la colonne en son honneur, il ne reste que la base. Pierre-Karl, souviens toi du Docteur Roberto Molina.

La zone "rouge" commence avec le cimetière - les groupes le visite sous escorte policière
Palais de justice se promène d'un endroit à l'autre

Aucun commentaire: