On quitte Tilcara avec un autobus local pour avancer d’un
petit 41 km vers la frontière Bolivienne. On devait la traverser le 21, mais
l’Argentine nous retient par son charme; peu après le départ on traverse mon
tropique, les forts en astrologie et en géographie comprendront, on s’éloigne
du centre de la terre d’environ 500 mètres (de 2 500 à 3 000), pourtant en
traversant les petits villages de Huacalera, de Uquia et en regardant les gens
monter et descendre d’autobus j’ai l’impression d’être de plus en plus en plus
creux.
Sur la route les paysages magiques de la Quebrada de Humahuaca continuent de nous émerveiller. Puis on atteint le village du même nom. Sur la plaza central vous pouvez apercevoir presque tout ce que la ville offre aux visiteurs pressés. Tout seigneur, tout honneur, l’église de la Candelaria en occupe un côté, à un de ses flancs, un escalier mène au monument à la Independencia, il ne faut pas monter bien haut pour avoir une vue imprenable sur les couleurs multiples de la Quebrada. D’un autre côté, le Cabildo (mairie) au style assez particulier où se loge un office de tourisme. En face de l’église une banque et sur le dernier des côtés, des boutiques d’artisanat, tous les pouvoirs sont donc représentés.
Sur la route les paysages magiques de la Quebrada de Humahuaca continuent de nous émerveiller. Puis on atteint le village du même nom. Sur la plaza central vous pouvez apercevoir presque tout ce que la ville offre aux visiteurs pressés. Tout seigneur, tout honneur, l’église de la Candelaria en occupe un côté, à un de ses flancs, un escalier mène au monument à la Independencia, il ne faut pas monter bien haut pour avoir une vue imprenable sur les couleurs multiples de la Quebrada. D’un autre côté, le Cabildo (mairie) au style assez particulier où se loge un office de tourisme. En face de l’église une banque et sur le dernier des côtés, des boutiques d’artisanat, tous les pouvoirs sont donc représentés.
Une petite marche en perdant la plaza de vue nous amène à
une école et à un hôpital, les partisans de la gratuité de ses services publics
devraient y venir faire un stage, ce n’est pas le Laos ou la Myanmar mais de
quoi on se plaint.
En entrant manger au El Portillo, on se croirait à Paris,
tous les clients parlent français (un couple de français, un couple de suisses
et nous) la serveuse est incapable du moindre sourire et la nourriture est
excellente, si la facture (144) était en Euros au lieu d’en pesos, l’illusion
serait parfaite.
Mais déjà on sent la température baissée et on
rejoint l’Hosteria Solar de la Quebrada sur Santa Fe pour la sieste mandataire
en ce coin de pays.
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