On commence notre deuxième journée de Vendimia, par une
visite de la basilique de San Francisco. N’ayez crainte, le trip Jésuite est
terminé, ici on est chez les Franciscains. Plus qu’un monument religieux, cette
église est un mémorial au Général San Martin qui libéra l’Argentine, le Chili
et le Pérou. D’abord une citation du grand homme:
«Al hombre honrado no
le es permito ser indiferente de sentimentio de justicia.»
Les restes de sa famille proche ramenés de France en 1951 y
reposent en paix.
Que ceux qui restent froids devant les chaines de Saint-Pierre à Rome ou une dent du Bouddha partout en Asie se recueillent; dans le camarin on retrouve l’épée du général, mais plus solennel et émouvant: de la terre ramenée des Islas Maldivas par les héroïques troupes de l’Argentine en 1984.
Que ceux qui restent froids devant les chaines de Saint-Pierre à Rome ou une dent du Bouddha partout en Asie se recueillent; dans le camarin on retrouve l’épée du général, mais plus solennel et émouvant: de la terre ramenée des Islas Maldivas par les héroïques troupes de l’Argentine en 1984.
Il n’est que 11h00 et déjà on se rassemble le long des rues.
Le défilé commence par une manifestation hétéroclite de tous ceux qui se trouvent
à gauche de Pinochet et de sa grande amie Margaret. Mais un thème ressort
résolument d’entre les autres: l’opposition aux grands projets miniers
(canadiens). Une pancarte résume bien le sentiment populaire : El Aqua
vale mas qu’el Oro.
Pendant plus de 4 heures, ce sont chars
allégoriques et gens à cheval qui défilent et à regarder les plus jeunes
cavaliers et cavalières, ici on semble apprendre à monter avant de marcher.
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