jeudi 20 janvier 2011

Kampot


En arrivant à l’hôtel, commence entre Françoise et l’ordi un dur combat impliquant ses photos et le blogue. Heureux temps où Bell avait le monopole avec ses téléphones à cadran noir et sur nos télévisions en noir et blanc on tournait un cadran pour sélectionner un des 4 postes disponibles, pour envoyer un message on le dictait à une secrétaire le prenait en sténo, le dactylographiait puis postait la lettre qui arrivait dans l’autre continent trois semaines plus tard. Maintenant les enveloppes ne servent plus qu’en politique et en construction. (Nostalgie de Richard).


On part visiter Kâmpôt, petite ville coloniale fin XlX du début XX siècle sur le bord d’une rivière les édifices sont défraichis mais contrairement à Kep qui semblait une ville fantôme celle-ci est vivante. Arrêt pour diner au restaurant HAKARI tenu par des Néo-Zélandais. Que fait cette jeune Cambodgienne d’environ 15 ans avec ce grand fanal occidental chauve dans la cinquantaine? Pol Pot l’avait bien dit: la ville corrompt….

On passe par un marché local typique ou j’étouffe littéralement; il y a de tout, légumes, viandes, vêtements, bijoux en or. Petit stop dans un resto cambodgien, pour prendre un shake aux fruits, où Françoise voudrait prendre un cours de cuisine khmère dans 2 jours.

On rentre à l’hôtel, après avoir gagné sa bataille informatique, Françoise communique par Skype avec son ami José. La pizza ici (avec four à bois), au Mea Culpa est supposée être la meilleure du Cambodge, on l’essaie, oui très bonne. On va voir une noce cambodgienne, ils ont réservé une moitié de rue à côté d’un parc, orchestre et tout le kit.

Kampot

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Wow!! C'est tellement intéressant! Beau voyage que vous faites, ca fait rever!! Merci de nous le faire vivre avec vous, j'adore!! Cathy
Francois-Xavier adore regarder ca avec moi!!! Il a été tres impressionné de la conduite des gens la bas hihihi!!!