vendredi 3 février 2012

3 février Buenos Aires

Fameuse avenue du 9 juillet de 20 à 26 voies à traverser
À tous les jours des rues sont bloquées!
Il encourage les vendeurs
Dernière journée de la première partie de notre voyage; on termine notre séjour dans la capitale argentine par une dernière visite à nos amis manteros qui ne lâchent pas en bloquant cette fois en partie l’avenue de Mayo, je pose un petit geste pour les encourager. On poursuit notre tournée des cafés par le El Gato Negro, au 1669 Corrientes, la seule odeur du bon café qui vous envahit en y entrant vaut le détour.

Puis suit une visite guidé du Congrès, très bel édifice, et je réussis à comprendre quelques brides d’explications, l’oreille commence à s’y faire.
Buenos Aires est une belle ville, qui vit un peu beaucoup sur son riche passé. Si le présent est super bien pour un touriste et certes acceptable pour une partie des portenos, une société parallèle d’exclus, les très nombreux sans-abris montrent que le royaume de Cristina (première ministre du pays) n’est pas pour tous. (Même si les riches mesdames du Club de Bridge Recoleta ne l’aiment pas, ce ne sont pas elles qui en souffrent le plus.)

Peuvent t’ils même se consoler en fêtant les victoires du Boca ou en rêvant à reprendre les Islas Maldivas, je ne pense pas, ces fantasmes sont pour entretenir la classe moyenne dans ses illusions de puissance, eux c’est ce qu’ils peuvent trouver en faisant les poubelles le soir venu qui fait leur bonheur, leur malheur ce n’est pas une victoire du River ou la visite du prince Williams, mais un déluge comme nous venons d’en connaitre deux soirs de suite. Bonne chance à tous.

1 commentaire:

Marie-Claude a dit…

Je tenais à te saluer , je te lis fréquemment . Porte toi bien et prend un bon café corsé en pensant à moi
hi hi . On se revoit dans 3 mois xx