mercredi 8 février 2012

Montévidéo, le 8 février

Il faut parfois donner une deuxième chance à une ville. Au lieu de se diriger vers la pointe de la ville (Montevideo est une péninsule) on se dirige à gauche et on rejoint le bord de l’eau où une belle et longue promenade nous attend. D’un côté la mer ou le golfe (Rio de la Plata) de l’autre des blocs d’habitations plus ou moins rénovés, le premier bâtiment d’importance rencontré, l’ambassade américaine ne paye pas de mine, la sécurité doit être plus importante que l’esthétique.
On longe ensuite une petite plage et on continue en longeant un golf d’un côté et de l’autre, il fait moins chaud et un bon vent nous rafraichit. Un monument très sobre et symbolique sur le peuple juif et l’holocauste nous interpelle, le soleil qui ne devait pas être de la partie se pointe, on continue sur le remblai Mahatma Gandhi jusqu’à la plage Pacitos et on revient par la rue du 21 septembre avec un stop au café Tranquilo, il faut aussi donner une deuxième chance à un nom, sur le retour un parc superbe (Parque Rodo). Ce coin de ville, Punta Caretas est charmant, le premier jugement d’une ville grise et sale était rapide.

Pour la première fois du voyage Françoise livre un dur combat avec l’ordi mais semble devoir en sortir gagnante.

Le soir au restaurant Rufinio sur San Jose, la pièce de viande qu’on me sert ne décevrait pas Obélix qui aurait dû venir faire un tour dans le coin.

1 commentaire:

Lise DO a dit…

Quel beau parc.....on peut même s'y promener en pédalo dans les canaux ? Sûrement une belle expérience d'odeurs de mini-forêt tropicale ! Lo me gustaria mucho....un rio pequeno y plantas al mismo sito, que suerte !