dimanche 27 février 2011

Inde, 26 février 2011

Adieu Myanmar, bonjour Inde.
Debout à 5h15, départ de l’hôtel à 6h00, en attente de notre avion dès 7h00. Un peu de retard, mais nous atterrissons à Bangkok à 11h15. Ce méga aéroport est devenu une veille connaissance, le temps de diner et Françoise livre 4 rounds informatiques de 15 minutes. Ici WI FI gratos, c’est bon pour 15 minutes et il faut à chaque fois aller chercher un nouveau mot de passe. La situation semble s’améliorer même si, selon moi, elle tourne en rond.
Vers 16h00 nous embarquons dans l’avion de Kingfisher pour Kolkota, Est-ce mes préjugés qui ressortent, mais il y a à bord une méchante gang de gros Tamouls qui ne cessent de gueuler. Presque tous des hommes, quand l’avion atterrit c’est une meute de sangliers sauvages qui se précipitent pour sortir écrasants tout sur leurs passages. Ok j’exagère un peu.
À l’aéroport de Kolkata, ou nous devons transiter vers Mumbai, on trouve une première personne sympathique au comptoir de Kingfisher qui nous oriente très bien. Nous devons en effet changer de terminal mais le terminal domestique n’est qu’à quelques minutes de marche. Pas de roupies pour acheter un petit snack, mais un monsieur Indien, me propose d’échanger quelques dollars et finalement on accepte ma carte de crédit pour un achat d’environ 3$. Mon tamoul doit s’améliorer rapidement car je comprends les annonces pour les vols et le discours de l’hôtesse dans l’avion. Pour ce second vol Indien, la clientèle est plus normale.
Arrivée à Mumbai vers 11h45, aucun taxi ne nous attend, une troisième personne affable sur le 1, 300, 000,000 nous aide en téléphonant à notre hôtel pour nous. Il nous faut des roupies pour réserver un taxi prépayé, là c’est un garde de sécurité qui nous accompagne au kiosque des taxis et nous obtient un ticket pour un 10 USD. Il fait même comprendre le sens de l’hospitalité à un Mr. Pipi, qui me refusait l’accès à sa bécosse sans les 2 roupies requis (0,05).
Un quatrième Indien sympathique!!! Le chauffeur de taxi, en chantant se faufile dans le trafic de cette nuit du samedi; d’autoroutes en autoroutes, en coupant à travers dans des quartiers qui nous rappellent la richesse des rues de Yangon, il nous dépose devant notre hôtel en près d’une heure. Et de 5!
Le préposé à la réception, même si notre réservation n’apparait nulle part dans ses livres, nous enregistre et on monte épuisés faire dodo. Me serais-je tromper sur les Indiens. Ca fait quoi en %  6 sur 1, 300 000,000?

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